« Pleine lune sur le marais’ » est le premier opus de Tino Cébès, enregistré en live. Le trio percussions, harpe et guitares présente son univers original et contemplatif, associant machines et instruments acoustiques. Il jongle entre tradition et modernité, intégrant dub et trip-hop à ses compositions.
Musiques instrumentales, les pièces du disque se passent de paroles. Chaque morceau relate les pérégrinations de Tino Cébès, personnage imaginaire créé par le groupe. Sans un mot, afin de laisser l’auditeur libre d’imaginer ses aventures, les titres s’enchaînent liés les uns aux autres dans l’énergie du concert, dirigés par un étrange scénario, tout comme les titres inscrits au dos du disque composant un curieux psaume.
Les musiciens suivent un canevas sur lequel ils brodent et improvisent, alternant mélodies lancinantes sur fond de trip-hop (« La gardienne des rêves »), thèmes épiques croisés (« Höm »), rythmes dub et ambiances hypnotiques (« Pleine lune sur le marais »), font référence à
EZ3kiel ou Pink Floyd, mais également à la saudade (« La chanson des futurs disparus ») ou le tango.
Ils superposent des boucles comme autant de cycles se répétant en spirale. Ce principe de répétition ressort également dans les titres (« On croyait qu’on en était sortis », « Comme si tout recommençait... »), répétitions des figures musicales comme autant de figures de l’existence...
Les trois musiciens de Tino Cébès ne se contentent pas de jouer de la musique, ils produisent du son. Ils enchaînent leurs ambiances imagées comme la bande originale d’un film que chacun s’imagine, construisent et renouvellent sans cesse leurs histoires...
Musiques instrumentales, les pièces du disque se passent de paroles. Chaque morceau relate les pérégrinations de Tino Cébès, personnage imaginaire créé par le groupe. Sans un mot, afin de laisser l’auditeur libre d’imaginer ses aventures, les titres s’enchaînent liés les uns aux autres dans l’énergie du concert, dirigés par un étrange scénario, tout comme les titres inscrits au dos du disque composant un curieux psaume.
Les musiciens suivent un canevas sur lequel ils brodent et improvisent, alternant mélodies lancinantes sur fond de trip-hop (« La gardienne des rêves »), thèmes épiques croisés (« Höm »), rythmes dub et ambiances hypnotiques (« Pleine lune sur le marais »), font référence à
EZ3kiel ou Pink Floyd, mais également à la saudade (« La chanson des futurs disparus ») ou le tango.
Ils superposent des boucles comme autant de cycles se répétant en spirale. Ce principe de répétition ressort également dans les titres (« On croyait qu’on en était sortis », « Comme si tout recommençait... »), répétitions des figures musicales comme autant de figures de l’existence...
Les trois musiciens de Tino Cébès ne se contentent pas de jouer de la musique, ils produisent du son. Ils enchaînent leurs ambiances imagées comme la bande originale d’un film que chacun s’imagine, construisent et renouvellent sans cesse leurs histoires...