Kitano Graffiti, c’est avant tout deux normands qui se sont rencontrés au milieu de la sueur et de la fureur au fond d’une cave rouennaise où il faisait bon se bousculer. Le premier qui se déchaîne sur scène, l’autre qui se démène parmi la foule, les deux qui s’agitent à s’en étourdir et qui finissent par ne plus pouvoir s’en passer. Pour eux, c’est d’abord l’amour des décibels, la recherche du riff déversoir et l’envie d’atteindre cette puissante sensation de bien-être à t’en faire planer à quinze mille qui les anime. En gros, Kitano Graffiti, c’est une relation intime et intense qui s’est construite sur une passion, celle de se retrouver dans des concerts exutoires bien plus puissants et cathartiques qu’une représentation de Frédéric François dans l’EHPAD du coin. C’est te dire !
Au départ, le projet est simple : Raphaël chante, Hugo gratte, les deux au service d’un garage rock lo-fi survolté, désinhibant et plein d’euphorie. Dès la première écoute, on pense aux grands jours de Thee Oh Sees, le genre de rock énergique et décapant qui te donne envie de te trémousser le sourire aux lèvres, d’un air ahuri et insouciant.
Leur premier titre « Euphoria » c’est donc tout ça, mais pas que, et le résultat est saisissant ! Une vague d’énergie qui te frappe de plein fouet et qui te mouille de bonheur. La guitare saccadée qui vient t’éclabousser et qui te donne envie de sautiller. Le rythme frénétique qui t’invite à te mouvoir dans tous les sens, sans trop savoir quoi faire de tes membres. Les prouesses vocales de Raphaël, tantôt graves et rauques, tantôt écorchées et haut perchées, qui te canalisent puis t’électrisent. Et un final sonore explosif qu’on attend, qu’on attend puis qui dure, qui dure, sans jamais te laisser le temps de respirer. On les imagine déjà, ces deux-là, à se plier dans tous les sens sur scène, et c’est clairement en live que leur musique finira par prendre entièrement son sens.
Kitano Graffiti, c’est donc l’envie de se délivrer et l’espoir de retrouver l’éclat de la scène, le tumulte de la fosse et cette relation incomparable qui unit le tout. C’est le besoin de retrouver les odeurs de bières, les chaussures qui collent par terre, la sensation parfois désagréable mais bizarrement réconfortante des vêtements trempés de ceux qui dansent et gesticulent contre toi. C’est la promesse de vivre à nouveau des scènes d’exultation dans l’intimité du « 3 Pièces », s’entasser à plusieurs dizaines dans un 40m² et enfin revoir le sourire sur le visage des gens.
En fait, Kitano Graffiti, c’est l’effet coup de poing dans la gueule dont t’as besoin aujourd’hui, mais en plus fraternel et mélodieux.
- Jason Magnan
Au départ, le projet est simple : Raphaël chante, Hugo gratte, les deux au service d’un garage rock lo-fi survolté, désinhibant et plein d’euphorie. Dès la première écoute, on pense aux grands jours de Thee Oh Sees, le genre de rock énergique et décapant qui te donne envie de te trémousser le sourire aux lèvres, d’un air ahuri et insouciant.
Leur premier titre « Euphoria » c’est donc tout ça, mais pas que, et le résultat est saisissant ! Une vague d’énergie qui te frappe de plein fouet et qui te mouille de bonheur. La guitare saccadée qui vient t’éclabousser et qui te donne envie de sautiller. Le rythme frénétique qui t’invite à te mouvoir dans tous les sens, sans trop savoir quoi faire de tes membres. Les prouesses vocales de Raphaël, tantôt graves et rauques, tantôt écorchées et haut perchées, qui te canalisent puis t’électrisent. Et un final sonore explosif qu’on attend, qu’on attend puis qui dure, qui dure, sans jamais te laisser le temps de respirer. On les imagine déjà, ces deux-là, à se plier dans tous les sens sur scène, et c’est clairement en live que leur musique finira par prendre entièrement son sens.
Kitano Graffiti, c’est donc l’envie de se délivrer et l’espoir de retrouver l’éclat de la scène, le tumulte de la fosse et cette relation incomparable qui unit le tout. C’est le besoin de retrouver les odeurs de bières, les chaussures qui collent par terre, la sensation parfois désagréable mais bizarrement réconfortante des vêtements trempés de ceux qui dansent et gesticulent contre toi. C’est la promesse de vivre à nouveau des scènes d’exultation dans l’intimité du « 3 Pièces », s’entasser à plusieurs dizaines dans un 40m² et enfin revoir le sourire sur le visage des gens.
En fait, Kitano Graffiti, c’est l’effet coup de poing dans la gueule dont t’as besoin aujourd’hui, mais en plus fraternel et mélodieux.
- Jason Magnan