Avant Concordski, Eugénie Leber a été bassiste pour AV, Marc Desse ou Batist. Elle s’est progressivement plongée dans l’univers des synthétiseurs et a rejoint le groupe normand Torrent d’Amour afin d’y faire vibrer quelques oscillateurs (tout en conservant la basse à portée de main).
Cependant, en décidant de venir s’installer à Caen, l’envie de faire de la musique comme elle l’entendait, sans compromis, s’est faite plus pressante. L’envie d’utiliser/superposer les sons qui lui plaisaient, de structurer les chansons à sa façon ou encore (plus tard) d’écrire des textes qui lui correspondaient s’est imposée.
Ainsi dans un premier temps, elle se consacra à la création de morceaux instrumentaux : “Il s’est passé du temps avant de réussir à poser sur les parties musicales des paroles que j’assumais et dont j’étais satisfaite.
J’ai découvert par exemple que je n’étais vraiment pas faite pour écrire des chansons d’amour. Je me suis énervée plusieurs fois en tentant d’en écrire. Selon toute logique, il y a donc une chanson de haine sur l’EP.“
Elle s’est également efforcée pour ce premier disque de composer des titres aux thèmes proches: plusieurs évoquent un voyage qui se déroule mal. “C’est un gros sujet d’angoisse!”
Puis quand on lui demande si elle jouera ses morceaux en concert, elle s’emballe : “Il y aura des concerts oui !
Nous serons deux sur scène et j’en suis ravie. A deux, nous pouvons davantage faire vivre les morceaux que si je suis toute seule avec un synthétiseur et un ordinateur. Il y aura bien un ordinateur mais deux fois plus de synthétiseurs !“
Cet EP pas encore sorti, la Concordski en chef se projette déjà sur la suite : “Voir cet EP aboutir me donne envie de continuer à composer des chansons, ce que j’ai déjà commencé à faire. Ce sera forcément différent en termes de sonorités car je n’ai plus un seul clavier qui a servi à enregistrer l’EP. Ce turnover de matériel est
délicieusement excitant.”
Cependant, en décidant de venir s’installer à Caen, l’envie de faire de la musique comme elle l’entendait, sans compromis, s’est faite plus pressante. L’envie d’utiliser/superposer les sons qui lui plaisaient, de structurer les chansons à sa façon ou encore (plus tard) d’écrire des textes qui lui correspondaient s’est imposée.
Ainsi dans un premier temps, elle se consacra à la création de morceaux instrumentaux : “Il s’est passé du temps avant de réussir à poser sur les parties musicales des paroles que j’assumais et dont j’étais satisfaite.
J’ai découvert par exemple que je n’étais vraiment pas faite pour écrire des chansons d’amour. Je me suis énervée plusieurs fois en tentant d’en écrire. Selon toute logique, il y a donc une chanson de haine sur l’EP.“
Elle s’est également efforcée pour ce premier disque de composer des titres aux thèmes proches: plusieurs évoquent un voyage qui se déroule mal. “C’est un gros sujet d’angoisse!”
Puis quand on lui demande si elle jouera ses morceaux en concert, elle s’emballe : “Il y aura des concerts oui !
Nous serons deux sur scène et j’en suis ravie. A deux, nous pouvons davantage faire vivre les morceaux que si je suis toute seule avec un synthétiseur et un ordinateur. Il y aura bien un ordinateur mais deux fois plus de synthétiseurs !“
Cet EP pas encore sorti, la Concordski en chef se projette déjà sur la suite : “Voir cet EP aboutir me donne envie de continuer à composer des chansons, ce que j’ai déjà commencé à faire. Ce sera forcément différent en termes de sonorités car je n’ai plus un seul clavier qui a servi à enregistrer l’EP. Ce turnover de matériel est
délicieusement excitant.”