Terri-Jade est auteure, compositrice et interprète. Née au sud de Londres, elle passe une partie de son enfance en Angleterre avant de s’installer en Normandie à l’âge de sept ans.
Anciennement sous le pseudonyme « Teejay », elle se produit sur des scènes régionales telles que Les Papillons de nuit ou Tendance Live. Elle réalise également les premières parties d’artistes telles que Fatoumata Diawara, Claire Denamur ou Hollysiz.
Aujourd’hui Terri-Jade souhaite se réinventer et faire découvrir un univers moderne basé sur une électro-pop teintée d’influences variées. Elle sort deux premiers singles en auto-production intitulés « Green Eyed Monster » et « Five Sisters » accompagnés de clips.
Basses imposantes, synthés atmosphériques et rythmiques dansantes font l’essence de l’univers sonore. Inspirées par la mythologie grecque, ses compositions font naître des personnages et des histoires, offrant un spectacle dramatique et visuel.
« La musique s’enrichit d’émotions. Tantôt elle nous tient en haleine, sans même oser applaudir quand le dernier son d’un morceau se meurt ; tantôt elle nous donne envie de danser, de rêver et de battre des mains » - Marion, spectatrice.
Anciennement sous le pseudonyme « Teejay », elle se produit sur des scènes régionales telles que Les Papillons de nuit ou Tendance Live. Elle réalise également les premières parties d’artistes telles que Fatoumata Diawara, Claire Denamur ou Hollysiz.
Aujourd’hui Terri-Jade souhaite se réinventer et faire découvrir un univers moderne basé sur une électro-pop teintée d’influences variées. Elle sort deux premiers singles en auto-production intitulés « Green Eyed Monster » et « Five Sisters » accompagnés de clips.
Basses imposantes, synthés atmosphériques et rythmiques dansantes font l’essence de l’univers sonore. Inspirées par la mythologie grecque, ses compositions font naître des personnages et des histoires, offrant un spectacle dramatique et visuel.
« La musique s’enrichit d’émotions. Tantôt elle nous tient en haleine, sans même oser applaudir quand le dernier son d’un morceau se meurt ; tantôt elle nous donne envie de danser, de rêver et de battre des mains » - Marion, spectatrice.