C’est l’histoire d’un nouveau départ. Après des années passées dans les méandres du rock indé, FORAY (ancien NORD) a eu besoin de regarder vers l’avenir. Un voyage mental qui se concrétisa avec un premier album élégant et mélancolique, où l’espoir et la lumière ont toujours leur place. « Je vois ma musique comme un ciel d’hiver recouvrant un espace désertique, mais toujours avec quelque chose de très humain au fond ». FORAY cultive le côté́ froid et sec de ses chansons, mais dans le souci constant de transmettre un message, de le partager, pour que justement la chaleur puisse éclater au grand jour.
Elevé à Dieppe, aujourd’hui installé aux alentours de Rouen, FORAY est ce qu’il appelle, en s’amusant, « un produit normand ». Son rapport à la musique s’est d’ailleurs construit dans ce cocon à la fois rude et rassurant, où il a découvert The Doors, Leonard Cohen, Pixies, Nirvana, Blur, LCD Soundsystem, Bon Iver, Timber Timbre... mais aussi l’univers de la chanson française, de Brassens à Mathieu Boogaerts en passant par Dominique A. La révélation a eu lieu pendant ses études aux Beaux-Arts du Havre, où la décision de se lancer corps et âme dans la musique s’est imposée. « J’ai quitté les Beaux-Arts parce que je ne me sentais plus à ma place. Je ne savais pas exactement ce que je voulais, mais je savais ce que je ne voulais pas. J’ai mis un ghettoblaster sur la table et je me suis barré ! ».
Ont suivi des années à traverser la scène normande d’un groupe à l’autre, d’une scène à l’autre, avant que naissent l’envie et la nécessité́ de se lancer en solo. C’est comme ça que FORAY, sous son premier pseudonyme NORD, s’est lancé dans des premières chansons en solo. Le projet se développe alors jusqu’à la sortie d’un premier single, « Drunk » (2015), puis d’un premier EP, « L’amour s’en va » (2016), où il dévoile son univers sonore et visuel léché. Cet EP, accompagné d’une trilogie de clips en noir et blanc, permet à FORAY de se faire repérer par Les Inrocks Lab, France Inter, le Chantier des Francos, les Inouïs du Printemps de Bourges... Une période d’affinage sonore, de textures des arrangements, avec ce côté́ dark d’un monde en pleine expansion.
En racontant la course contre ses démons qu’il apprivoise, FORAY a construit un espace où les autres, autour de lui, peuvent le rejoindre et s’y retrouver. La musique comme une fuite collective, comme une promesse de liberté́ au-delà̀ des prisons personnelles : voilà le secret de FORAY pour un premier album plein d’espoir et des concerts puissamment habités.
Une chanson ce n’est pas grand-chose, mais c’est un monde en soi. Ça peut tourner en boucle à l’infini ou bien s’arrêter du jour au lendemain, laissant place à quelque chose d’autre, à un nouveau départ. C’est cette analogie qu’explore FORAY dans « Grand Turn Over », son premier album où il raconte des moments de vie avec finesse, depuis les luttes intérieures avec ses démons jusqu’au chemin vers de nouveaux horizons. Le tout dans des chansons qui explorent une valse d’émotions et de sensations inédites, mises en musique entre rock, folk et électro. Avec ce premier album réalisé́ par Thierry Minot (Dim Sum, Dead Rock Machine), FORAY se dévoile et propose de partager un bout de chemin avec lui.
Elevé à Dieppe, aujourd’hui installé aux alentours de Rouen, FORAY est ce qu’il appelle, en s’amusant, « un produit normand ». Son rapport à la musique s’est d’ailleurs construit dans ce cocon à la fois rude et rassurant, où il a découvert The Doors, Leonard Cohen, Pixies, Nirvana, Blur, LCD Soundsystem, Bon Iver, Timber Timbre... mais aussi l’univers de la chanson française, de Brassens à Mathieu Boogaerts en passant par Dominique A. La révélation a eu lieu pendant ses études aux Beaux-Arts du Havre, où la décision de se lancer corps et âme dans la musique s’est imposée. « J’ai quitté les Beaux-Arts parce que je ne me sentais plus à ma place. Je ne savais pas exactement ce que je voulais, mais je savais ce que je ne voulais pas. J’ai mis un ghettoblaster sur la table et je me suis barré ! ».
Ont suivi des années à traverser la scène normande d’un groupe à l’autre, d’une scène à l’autre, avant que naissent l’envie et la nécessité́ de se lancer en solo. C’est comme ça que FORAY, sous son premier pseudonyme NORD, s’est lancé dans des premières chansons en solo. Le projet se développe alors jusqu’à la sortie d’un premier single, « Drunk » (2015), puis d’un premier EP, « L’amour s’en va » (2016), où il dévoile son univers sonore et visuel léché. Cet EP, accompagné d’une trilogie de clips en noir et blanc, permet à FORAY de se faire repérer par Les Inrocks Lab, France Inter, le Chantier des Francos, les Inouïs du Printemps de Bourges... Une période d’affinage sonore, de textures des arrangements, avec ce côté́ dark d’un monde en pleine expansion.
En racontant la course contre ses démons qu’il apprivoise, FORAY a construit un espace où les autres, autour de lui, peuvent le rejoindre et s’y retrouver. La musique comme une fuite collective, comme une promesse de liberté́ au-delà̀ des prisons personnelles : voilà le secret de FORAY pour un premier album plein d’espoir et des concerts puissamment habités.
Une chanson ce n’est pas grand-chose, mais c’est un monde en soi. Ça peut tourner en boucle à l’infini ou bien s’arrêter du jour au lendemain, laissant place à quelque chose d’autre, à un nouveau départ. C’est cette analogie qu’explore FORAY dans « Grand Turn Over », son premier album où il raconte des moments de vie avec finesse, depuis les luttes intérieures avec ses démons jusqu’au chemin vers de nouveaux horizons. Le tout dans des chansons qui explorent une valse d’émotions et de sensations inédites, mises en musique entre rock, folk et électro. Avec ce premier album réalisé́ par Thierry Minot (Dim Sum, Dead Rock Machine), FORAY se dévoile et propose de partager un bout de chemin avec lui.