Grand Parc : il vient avec ces mots l’image d’une étendue de nature qui résiste au milieu de la ville. On imagine New-York, mais c’est un quartier d’Hérouville Saint-Clair, ville futuriste des années 60 de la banlieue caennaise.
Plante sauvage dans la botanique pop normande, Grand Parc est né sous l’impulsion des compositions à deux voix de Nicolas Marsanne et Annie Langlois courant 2012. Sur scène, entourés de musiciens, ils inventent leur langue mêlant compositions et improvisations, manient la fluidité et la rupture pour raconter une histoire musicale à suspense.
Leur premier album sorti en 2015, reflet de ces expériences scéniques, prenait le chemin d’une pop progressive, mélange de jeux de retournements, de chants bipolaires et de fourmillements sonores puisant dans la pop, la folk jusqu’à s’écorcher à la noise. Remarqué par la critique (Konbini, New Noise, KEXP, ...), le groupe joue notamment aux Inouïs du Printemps de Bourges et aux Trans Musicales de Rennes.
Devenu duo maniant claviers et boucles produits par leurs soins, Grand Parc continue d’éveiller la curiosité. Après une série de concerts de 2017 à 2019 permettant d’expérimenter et de monter un nouveau répertoire, le groupe s’est posé l’hiver dernier pour écrire un EP en français. C’est de la « variété indie » ou de la « chanson assistée par ordinateur » comme ils aiment à dire. Une voix en haute tension, des synthés comme des pleureuses sur des grooves nocturnes, des textes évoquant un présent fané, le tout arrangé au plus près de la mélodie.
Disque de chansons saturniennes qui cherchent dans l’arrière-ville où trouver l’heure. Elles portent un pull, noir, dansent sur les toits et ne savent plus trop se souvenir.
Plante sauvage dans la botanique pop normande, Grand Parc est né sous l’impulsion des compositions à deux voix de Nicolas Marsanne et Annie Langlois courant 2012. Sur scène, entourés de musiciens, ils inventent leur langue mêlant compositions et improvisations, manient la fluidité et la rupture pour raconter une histoire musicale à suspense.
Leur premier album sorti en 2015, reflet de ces expériences scéniques, prenait le chemin d’une pop progressive, mélange de jeux de retournements, de chants bipolaires et de fourmillements sonores puisant dans la pop, la folk jusqu’à s’écorcher à la noise. Remarqué par la critique (Konbini, New Noise, KEXP, ...), le groupe joue notamment aux Inouïs du Printemps de Bourges et aux Trans Musicales de Rennes.
Devenu duo maniant claviers et boucles produits par leurs soins, Grand Parc continue d’éveiller la curiosité. Après une série de concerts de 2017 à 2019 permettant d’expérimenter et de monter un nouveau répertoire, le groupe s’est posé l’hiver dernier pour écrire un EP en français. C’est de la « variété indie » ou de la « chanson assistée par ordinateur » comme ils aiment à dire. Une voix en haute tension, des synthés comme des pleureuses sur des grooves nocturnes, des textes évoquant un présent fané, le tout arrangé au plus près de la mélodie.
Disque de chansons saturniennes qui cherchent dans l’arrière-ville où trouver l’heure. Elles portent un pull, noir, dansent sur les toits et ne savent plus trop se souvenir.